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Le tract mensonger de la ligue des droits de l'homme

21 Mai 2014 Publié dans #A l'école, #L'ABCD, #Genre

Le tract mensonger de la ligue des droits de l'homme

La Ligue des Droits de l’Homme « pète un câble » !

Vous avez vu leur nouveau tract ? Ça vaut son pesant de cacahuètes !

Regardez surtout le dessin !

Personnellement je trouve ça honteux de leur part. Ils veulent nous faire croire que les professeurs, les instituteurs, bref les enseignants, sont des phallocrates réactionnaires, oppresseurs de la gent féminine....

Ils veulent faire croire que les enseignants donnent quand même les premières places aux garçons, eux qui sont pourtant à l’école, c'est bien connu, des minables, des bons à rien, des cancres installés bien au chaud près du radiateur au fond de la classe...!

Et les enseignants ne réagissent pas, face à cette grave insulte ?

Eux qui déjà exercent un métier difficile, en butte aux excès quotidiens d'un certain genre d'élèves, face souvent à certains parents qui exagèrent, et souvent pour des salaires qui ne compensent pas le mal qu'ils se donnent..

Et maintenant les institutions s'y mettent ! "Haro sur les baudets", en somme... Déjà l'éducation nationale leur fait la leçon: et leur donne des conseils sur la façon de s'adresser aux filles et aux garçons...

Vous le voyez bien le garçon ? Il a le bonnet d’âne et pourtant il a été mis sur la plus haute marche du podium !

Moi je saisis le message de la LDH : "Que font les profs ?! Pourquoi ne font-ils que brimer les filles ! On sait pourtant que les filles sont les meilleures en classe que les garçons. Eh bien quand même ils ne les mettent qu’à la seconde place, tout simplement parce que ce ne sont que des filles !".

Leur tract insinue méchamment que c’est ça, l’école de la République : qu’on n’y reconnaît pas le talent, qu’on y est partial, qu’on y est injuste envers les filles....

Il insinue que si e n’était pas vrai, on les entendrait râler, les profs, non ?

Et comme on ne les entend pas du tout protester…

On est rassuré quand on lit tout le reste du tract.... c'est du même tabac que le petit dessin, et tout y est présenté pour "enfumer" son monde avec le plus possible de mensonges.

L'idéologie du genre (moi non plus je ne l'appelle plus théorie !) c’est bien une invention des féministes radicales n'est ce pas madame Butler ? D'ailleurs vous le revendiquez, nous sommes donc d'accord. Mais j'y pense, c'est assez marrant d'ailleurs: je me souviens tout d'un coup que ces féministes là étaient quasiment toutes lesbiennes...

Dès lors ce n’est pas très étonnant qu'elles mettent toute leur énergie à démolir les garçons et les hommes... serait-ce à coups de mensonges. Il en reste toujours quelque chose.....D'ailleurs.....c'est bien vous Madame Butler qui avez déclaré que l'ennemi à abattre était l'Homme Hétérosexuel Blanc !

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E
Dimanche 11 mai matin, relativement tôt, mon vocabulaire s'est enrichi d'une nouvelle expression &quot;tendance&quot;: &quot;marqueur de changement social&quot;.<br /> Quelques extraits:<br /> 0:49 au vingt-et-unième siècle, les femmes fument autant que les hommes (...)<br /> 0:56 ce n'est plus vulgaire, mais c'est dommage parce que leur santé en prend un coup<br /> 01:02 Au XIXème siècle, les femmes buvaient beaucoup (...)<br /> 01:09 au XXème siècle elles buvaient beaucoup moins<br /> 01:17 au XXIème siècle (...) [rapportant les propos de Marie Choquet, sociologue] plus les femmes s'épanouissent socialement, plus elles rejoignent les comportement alcooliques des hommes<br /> 01:48 et pourtant la biologie n'est pas la même puisque j'ai remarqué que quand un homme et une femme ont des relations sexuelles statistiquement c'est les femmes qui sont enceintes<br /> 02:07 boire comme un homme, c'est un marqueur social mais biologiquement c'est une réaction très différente (...)<br /> 02:28 de plus les hommes dégradent l'alcool beaucoup plus que les femmes si bien qu'une femme a une ivresse bien plus rapide<br /> 02:43 à boisson égale, elles ont des polynévrites, des cirrhoses, des maladies du cerveau que n'ont pas les hommes<br /> 02:48 socialement, elles s'épanouissent, elle font comme les hommes, mais biologiquement on voit se maintenir une nouvelle forme d'injustice: elles s'abiment plus que les hommes.<br /> Si vous voulez réécouter ce dialogue entre une journaliste et un neuro-psychiatre (Boris Cyrulnik), c'est ici:<br /> http://www.franceinfo.fr/sciences-sante/histoire-d-homme/la-liberation-de-la-femme-c-est-aussi-l-alcool-et-le-tabac-1411967-2014-05-11
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