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Révoltons nous contre ces gens qui veulent détruire l'avenir de nos enfants

18 Mai 2015 , Rédigé par Webmaster & François Xavier Bellamy Publié dans #A l'école

Révoltons nous contre ces gens qui veulent détruire l'avenir de nos enfants

Vous savez ce que signifie en russe le mot "Pravda" ? Cela veut dire "Vérité". C'était le journal officiel du régime soviétique, où l'on baptisait "vérité tous les mensonges officiels du régime. Ca s'appelle de la propagande. Le bandeau que vous voyez ici, c'est le titre en russe de ce journal...

Chez nous c'est pareil. On laisse dire des mensonges pour que le peuple croie que c'est la vérité. C'est une manœuvre grossière aussi vieille que le monde. Symptomatique des états totalitaires, mais aussi des états qui glissent insensiblement vers un régime totalitaire, où il n'est plus permis d'exprimer son opinion. Surtout si elle est fondée.

Eh bien nous en avons plus qu'assez de tous ces menteurs, qui veulent faire croire aux français que la soit-disant "réforme" des collèges que Madame Vallaud Belkacem veut à toute force faire passer est une bonne réforme !!!! Pravda !

C'est une contre vérité ! Pire. C'est un odieux mensonge. Réveillez vous ! Ils gouvernent par le mensonge. Ils appellent le mensonge vérité. Ils inversent le sens des mots pour troubler les moins instruits. Pravda !

C'est la pire "réforme" de toutes !

Ce n'est pas une réforme, c'est de la démolition !

Plus de classes de latin et de grec... Ou seulement pour expliquer l’étymologie en classe de français..... Plus de classes bilangues ! Une Histoire complètement tronquée et trafiquée pour faire prendre à nos enfants des vessies pour des lanternes !

Et surtout, surtout, que plus aucune tête ne dépasse !

Ça fait partie de leur idéologie mortifère ! Quand nos enfants seront enfin complètement abrutis, incultes, sans références, ils accepteront tout ! C'est leur but.

D'ailleurs tout le monde, absolument tout le monde, la dénonce comme absurde, mauvaise, cette soit-disant réforme !

De tous les bords, de gauche comme de droite, les alertes ont fusé contre cette soit-disant réforme qui va encore plus tirer tous les enfants vers le bas !

Leurs arguments pour combattre notre rébellion ? que nous serions "xénophobes" car nous n'acceptons pas la réforme de Madame Vallaud Belkacem ! Bel argument ! Ils n'en ont point d'autres ? Ce sont des menteurs. Personne n'en veut de cette réforme. Même les plus brillants de nos intellectuels ont crié leur désaccord ! Madame Vallaud Belkacem les a traités de "pseudo-intellectuels", n'ayant pas d'arguments à leur opposer. Mépris.

On voit que lorsqu'ils n'ont plus d'arguments, ils répondent par un mépris incroyable pour le peuple qu'ils sont pourtant censés diriger vers le bien commun.

Même lorsque ce peuple et ses véritables élites intellectuelles leur crient "casse-cou" ! Ils n'en ont cure, enfermés dans leur idéologie ! Mépris.

Leur idéologie les aveugle. Si nous ne sommes pas d'accord avec eux, nous sommes tous des moins que rien... L'un d'eux l'aurait d'ailleurs dit : nous serions "des sans dents". Mépris.

Ils traitent nos écrivains, nos philosophes, qui les mettent en garde, de qualificatifs qui sont assurément des insultes ..."pseudo-intellectuels". Mépris.

Ils sont "hors-sol". Ils n'ont plus de lien véritable avec le peuple de France. Il n'y a plus que leur désir et leur volonté qui comptent, fussent-ils mal dirigés.

Pauvres gens ! En être arrivés là parce qu'une majorité n'est pas d'accord avec leurs inepties ?

Mais pourquoi font-ils ça ? Nous savons tous que nos enfants ont besoin de plus d'heures de cours magistraux. Nous savons tous que tous nos enfants ont besoin de mieux connaître la langue française. Nous savons tous que nos enfants ont besoin de plus travailler à l'école.

Et que font-ils ? Le nombre d'heures réelles de français va diminuer ! Belle réforme ! Quels sont les "pseudo-intellectuels" qui l'ont pensée ?

Ce qu'ils veulent ? Déconstruire. DECONSTRUIRE c'est à dire détruire. Détruire chez nos enfants l'envie de l'effort. Détruire chez nos enfants la joie de réussir par l'effort !

Détruire chez nos enfants la possibilité même de faire partie un jour de l'élite !

Détruire chez nos enfants l'espoir même de grimper plus haut par leur seul mérite !

Annihiler chez eux le désir même du travail personnel ! de l'effort. Et de la joie de parvenir à des succès grâce à l'effort....

Il paraît qu'ils s'ennuient à l'école : faisons les encore plus s'y amuser ! Idéologie !

Cette idéologie de la médiocrité est à combattre par tous les moyens. Elle a déja fait trop de mal en France.

S'il en fallait une preuve de plus : M. Peillon, l'ancien ministre de l'éducation nationale, vient apporter son soutien à cette mauvaise, abominable réforme. Lui qui, avec Najat Vallaud Belkacem avait largement promu l'introduction de l'idéologie du genre à l'école. Lui qui prônait la déconstruction des stéréotypes !

Parents, ne vous laissez pas faire ! Participez à la manifestation contre cette mauvaise réforme, qui aura lieu demain 19 mai.

Et puis, écoutez ce que François-Xavier Bellamy, sur Figarovox, dénonce. Ce coup de grâce porté contre l'école. Extrait :

"La comédie a assez duré. Après avoir tenté toutes les diversions possibles, où le dérisoire se mêle au ridicule, il va bien falloir que le gouvernement accepte enfin d'écouter.

Jusque-là, ceux qui ont osé critiquer la réforme du collège -des étudiants aux académiciens, en passant par des centaines de milliers d'enseignants- n'ont eu droit qu'à des insultes: pseudo-intellectuels, cortège des immobiles, défenseurs des privilèges…

Le mensonge a assez duré.

De quoi parlons-nous, en réalité? Ce n'est pas un changement qui nous est proposé, mais la continuité des politiques absurdes mises en œuvre, depuis quelques décennies, par la superstructure de l'Éducation nationale. [...]

Au lieu de se donner comme objectif, comme l'exigerait la situation, de remettre à plat nos méthodes pour parvenir à 100 % de bons lecteurs à l'entrée en sixième, la réforme des programmes se donne pour objectif «la maîtrise des langages».

Prenez, par exemple, le petit Yanis, qui joue aujourd'hui dans une cour de maternelle, inconscient du drame qui se prépare pour lui. Dès le CP, étape décisive dans l'apprentissage de sa langue principale, nous allons le perdre avec une première langue vivante.

Dès le CE1, pour être plus certain de le couler s'il surnageait encore, on lui imposera l'apprentissage des «langages informatiques».

Et les centaines de milliers d'élèves ballottés comme lui dans ces «pratiques langagières complexes» recevront le coup de grâce sous la forme d'une seconde langue vivante obligatoire dès la cinquième, avec un horaire dérisoire qui achève de rendre cette nouvelle barrière infranchissable.

Ce n'est pas grave, nous dit-on; Yanis aura désormais au collège des heures «d'accompagnement personnalisé».

Ce qu'on oublie de préciser, c'est que ces heures seront prises… sur le temps d'enseignement.

Il faut aider Yanis, qui, comme tant d'autres, arrive en sixième sans savoir lire. Mais y parviendra-t-on en remplaçant ses heures de français, déjà réduites à la portion congrue, par des heures de formation à «la recherche sur Internet»?

L'accompagnement «personnalisé» est en fait un vaste mensonge: il s'agit de «méthodologie» en classe entière, ou en groupes, sur la «prise de parole» ou «le tri des informations»; autant de temps retiré à l'essentiel."

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